Démarche

Depuis mon périple dans le domaine des arts visuels, j’ai dévié du dessin classique pour adopter la branche de la peinture. J’affectionne beaucoup l’utilisation de la texture en ajoutant de la matière ou en ajoutant divers matériaux ou simplement du mortier de structure. Dans le début de mon aventure en peinture, je me suis concentré sur la nature de l’homme, principalement, l’idéologie de Hobbes qui peut se résumer par ; l’homme est un loup (un prédateur) pour l’homme. J’ai aussi légèrement exploré le corps humain et l’utilisé pour créer une allégorie avec la nature qui nous entoure. Cette démarche m’a mené à mon thème véhiculé dans ce cours : la liberté d’expression et son contraire, la censure. Mon œuvre présentée dans le cours prend la forme de trois personnages se voulant des personnifications de message transmis par la presse. Le personnage de gauche est une façon de voir les « bonnes nouvelles » qui sont dans les journaux. Ces nouvelles qui sont là que pour mieux faire passer l’état de l’environnement ou les affrontements dans les pays sous-développés, mais tout le monde sont contents en lisant que la plus vieille dame au monde a survécu au Covid-19. Le personnage de droite représente les journalistes qui veulent fâcher avec leur mot, ceux qui se veulent dénonciateurs en répétant les mêmes trois arguments sur chaque sujet. Le troisième personnage se tient derrière les autres en transparence. Il est la censure, ce qu’on veut cacher, mais qui est toujours présent même si on le nie. Cette œuvre ne fait pas exception à la règle et est une toile peinturée ou des coups de pinceau sans grande délicatesse viennent créer des modelés et des textures. J’aime l’effet que donnent des coups de pinceaux qui ne sont pas trop précis, cela donne une idée du travail et du message que l’artiste a voulu mettre dans son œuvre.